Le titre définit aussi le cadre de la candidature de Jean-Luc Mélenchon pour les présidentielles de 2012 : "tout jeter et tout refaire en mieux, de manière égalitaire et plus juste". Ça c'est la méthode que propose l'ancien ministre de l'Enseignement professionnel. "Et c'est au peuple de réussir la révolution citoyenne". La première étape est 2012, un genre de 21 décembre 2012, comme au cinéma.
Et c'est d'ailleurs par le Japon, victime de plusieurs séismes et d'une catastrophe nucléaire, que le parlementaire français et européen a débuté son discours. “Personne ne s'est interrogée sur leur couleur ou leur religion, personne ne s'est demandée s'ils sont riches ou pauvres. Vous avez dit, ce sont nos semblables. Car, il y a avant tout la vérité du cœur et de l'esprit : il n'y a qu'une seule communauté humaine".
Cette communauté humaine passe d'abord par la responsabilisation de chaque individu selon l'intéressé. “Vous pouvez changer la société par vos bulletins de vote, car, il n'y a rien au-dessus de la souveraineté populaire. Aussi, je ne viens pas vous dire que vous avez besoin de moi, je viens vous dire pourquoi la cause a besoin de vous".
Le sénateur a expliqué pourquoi la cause a besoin de vous ? "c'est pour barrer la route au pouvoir de l'argent, l'argent trop présent au sein des institutions politiques faites sur mesure pour quelques individus". Jean-Luc Mélenchon a donc appelé le public réunionnais au rassemblement pour une gauche de rupture, une gauche menacée d'être rayée de la carte".
Le député européen a alors fustigé ceux qui représentent ou se disent de gauche : les socialistes "une espèce d'ectoplasmes politiques dégénérés, à la remorque du capitalisme comme un bon chien". L'Elysée n'a pas été épargné : "Sarkozy, comment on a pu donner le pouvoir à quelqu'un comme lui". Et Guéant et "les illuminés" en ont pris aussi pour leur grade.
A plusieurs reprises, Jean-Luc Mélenchon a insisté sur la nécessité de changer la société, et de répéter que "seul le peuple peut le faire, car il n'y a rien au dessus de la souveraineté populaire".
Nous reviendrons dans un prochain article sur les propositions de Jean-Luc Mélenchon, candidat du Parti de gauche, à l'élection présidentielle.
Et c'est d'ailleurs par le Japon, victime de plusieurs séismes et d'une catastrophe nucléaire, que le parlementaire français et européen a débuté son discours. “Personne ne s'est interrogée sur leur couleur ou leur religion, personne ne s'est demandée s'ils sont riches ou pauvres. Vous avez dit, ce sont nos semblables. Car, il y a avant tout la vérité du cœur et de l'esprit : il n'y a qu'une seule communauté humaine".
Cette communauté humaine passe d'abord par la responsabilisation de chaque individu selon l'intéressé. “Vous pouvez changer la société par vos bulletins de vote, car, il n'y a rien au-dessus de la souveraineté populaire. Aussi, je ne viens pas vous dire que vous avez besoin de moi, je viens vous dire pourquoi la cause a besoin de vous".
Le sénateur a expliqué pourquoi la cause a besoin de vous ? "c'est pour barrer la route au pouvoir de l'argent, l'argent trop présent au sein des institutions politiques faites sur mesure pour quelques individus". Jean-Luc Mélenchon a donc appelé le public réunionnais au rassemblement pour une gauche de rupture, une gauche menacée d'être rayée de la carte".
Le député européen a alors fustigé ceux qui représentent ou se disent de gauche : les socialistes "une espèce d'ectoplasmes politiques dégénérés, à la remorque du capitalisme comme un bon chien". L'Elysée n'a pas été épargné : "Sarkozy, comment on a pu donner le pouvoir à quelqu'un comme lui". Et Guéant et "les illuminés" en ont pris aussi pour leur grade.
A plusieurs reprises, Jean-Luc Mélenchon a insisté sur la nécessité de changer la société, et de répéter que "seul le peuple peut le faire, car il n'y a rien au dessus de la souveraineté populaire".
Nous reviendrons dans un prochain article sur les propositions de Jean-Luc Mélenchon, candidat du Parti de gauche, à l'élection présidentielle.
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